Un cancer du sang m’a presque fait perdre la vie... Après la rechute, épuisé, j’avais renoncé à guérir , jusqu’à ce que le Dr Denis-Claude Roy et ma famille me redonnent l’espoir. Ma vie était heureuse : au travail, avec la famille et auprès de ma conjointe. Tout ceci a chaviré…  

L’Hôpital Maisonneuve-Rosemont m’a sauvé la vie !

Ç’a commencé par des symptômes bénins, des faiblesses musculaires, de la fatigue… Mais ça s’est aggravé et j’ai dû me rendre à l’hôpital en janvier 2023. Ce que je pensais être une mauvaise grippe était en fait un cancer du sang très agressif. J’avais un cancer du sang qui s’attaquait à mon système immunitaire et à mes globules blancs.

On m’a dit que pour ma survie, je devais être transféré dans un centre où l’on soigne les cas les plus rares…  C’est là qu’on m’a parlé de l’Institut universitaire en hémato-oncologie et thérapie cellulaire de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Là où est la meilleure équipe pour soigner ma maladie. Accompagné du Dr Denis-Claude Roy, hémato-oncologue de réputé mondiale, j’y ai suivi différents traitements, dont de la chimiothérapie. Ce fut long et difficile, pas seulement pour mon corps, mais pour ma santé mentale aussi. Je ne me reconnaissais plus, j’étais isolé, je ne pouvais manger ce que je voulais.  Et vivre tout ceci loin de mes proches, mon plus grand soutien…

Mais les efforts ont payé, trois mois plus tard, on m’annonçait une rémission, c’était le plus beau jour de ma vie. Il restait toutefois une dernière étape avant l’espoir de la guérison : une autogreffe de cellules souches, ce qui a semblé fonctionner également!

Mais le bonheur n’a pas duré. J’ai fait une rechute.

Après de longues réflexions et discussions avec le Dr Roy et mes proches, j’ai décidé de réessayer. Et si la prochaine était la dernière? On m’a proposé une autre technique de thérapie cellulaire : une allogreffe, c’est-à-dire que j’ai reçu des cellules souches provenant d’un donneur compatible. Aujourd’hui, je vais très bien et je peux le dire. JE SUIS GUÉRI.

Pour moi, le bonheur, c’est désormais être en santé et redonner à ceux qui m’ont sauvé la vie. L’équipe de l’HMR n’est pas ma famille, mais elle y ressemble. Tout le personnel m’a accompagné avec dévouement, humanité et passion. Chaque corps de métier m’a marqué, et leur travail dépasse la simple vocation, c’est de l’engagement profond.

À tous ceux qui soutiennent l’HMR : votre don est précieux. Donner ou redonner, c’est penser aux autres. La vie est une route qui tourne, et votre geste pourrait sauver quelqu’un que vous aimez ou vous-même.